Pour beaucoup de personnes en France, se déplacer est une problématique aux facettes multiples. Bien que partagée, elle ne signifie pourtant pas la même chose en fonction de sa condition sociale ou géographique. Ce projet vise à en tracer les contours d’ici à 2035.
Je m’intéresse à l’interaction entre le spectateur et l’œuvre qu’il observe – cet instant durant lequel le regardeur, grâce à sa subjectivité, complète l’objet d’art devant lui
Ce projet vise à traiter de solitudes, au pluriel, et de ces moments ou l’on a juste l’impression de ne pas être à sa place.
Cette démarche créative, à base d’expérimentation et de hasard, vient éveiller un questionnement sur le concept même de création ou de créativité : doit-on avoir un contrôle sur toute sa création ? Que considère-t-on comme contrôle ? Est-ce que laisser le logiciel faire un travail automatisé sans connaître le fonctionnement interne de celui-ci est un manque de contrôle ?
Court aperçu de mes publications dans la presse.